
Du 9 février au 11 juin
Jean-Pierre Le Fèvre : Couleurs d’une vie
ExpositionMusée d’art et d’histoire - Saint-Lô (50)
Musée d’art et d’histoire
Place du Champs de Mars
La Source
50000 Saint-Lô
Saint-Lô (50)
Situé au coeur du centre-ville de Saint-Lô, dans un bâtiment à l’architecture contemporaine, le musée offre une plongée dans l’art et l’histoire de Saint-Lô des origines à nos jours.
Remontez le temps et promenez-vous dans les vieilles ruelles de Saint-Lô ; revivez les effroyables destructions de la Seconde Guerre mondiale et observez la renaissance de la cité : plus de 2 000 ans d’histoire condensés en un même lieu !
Au détour des salles, vous épierez les amours passionnées du berger Gombault et de sa femme Macée et vous croiserez peut-être les princes de Monaco… Offrez-vous une excursion à la mer ou à la campagne avec les plus grands peintres de leur temps !
Du 1er juillet au 31 août
ouvert du mardi au dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h
Du 1er septembre au 30 juin
ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h
Fermé le lundi, les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre
Du 1er juillet au 31 août
fermeture de la billetterie à 11h30 et 17h30
Du 1er septembre au 30 juin
fermeture de la billetterie à 17h30
Visite libre individuelle : 6 €
Visite guidée / Ateliers / Animations
+ 2 €
Visite libre individuelle : 3 €
Carte bancaire, espèce, chèque, chèque vacances
La Source
Place du Champ de Mars
50000 Saint-Lô
49.116890, -1.087976
Rampe d’accès et ascenseur
Parking gratuit
Visite libre sans droit de parole : 3€/personne
Visite libre avec un droit de parole : 15€ + 3€/personne
Visite guidée jusqu’à 30 personnes : 30€ + 3€/personne
Visite guidée de 30 à 50 personnes : 60€ + 3€/personne
Visite guidée au-delà de 50 personnes : 90€ + 3€/personne
Visite libre : Gratuité
Visite guidée et/ou atelier Saint-Lô Agglo : Gratuité
Visite guidée et/ou atelier hors Saint-Lô Agglo : 1€/élève
Activités et visite de groupes personnalisée sont possibles sur demande. Renseignements au : 02 33 72 52 55.
La fondation du musée des Beaux-Arts en 1835
Créé par la société d’agriculture, d’archéologie et d’histoire naturelle de la Manche en 1835 dans le but de réunir des « produits d’histoire naturelle, des objets d’art ou d’industrie » ainsi que des documents anciens, le musée se vit très vite enrichi par les dons des familles aristocratiques manchoises de La Tour du Pin en 1838 et des Lebrun en 1840.
Le transfert des œuvres à la fin du 19e siècle dans une nouvelle structure
Un nouveau musée fut créé à la fin du 19e siècle rue Havin, il abritait en plus de sa collection de Beaux-Arts des collections d’archéologie et d’histoire naturelle si joliment décrites par Jean Follain (1903-1971) dans « Chef-lieu ».
La sauvegarde de l’essentiel des œuvres grâce au déménagement de 1940
En 1940, afin d’éviter le pillage et les destructions de la guerre, la décision fut prise par l’état d’abriter hors des musées leurs collections d’art. Dispersée dans plusieurs endroits de France la majeure partie des collections saint-loises furent sauvées du désastre des bombardements mais les collections d’histoire naturelle, elles, furent en grande partie détruites ou volées. Avec les fonds obtenus des dommages de guerres à la fin des années 1960, le musée des Beaux-Arts se lança dans une politique d’acquisition d’œuvres d’art notamment celles de la section des peintures allant des paysages héroïques au pré-impressionnisme. Peu après la guerre, les collections réintégrèrent le musée abrité sous l’Hôtel de Ville de Saint-Lô jusqu’en 1989.
L’actuel musée des Beaux-Arts
C’est au docteur Jean Patounas, maire de 1983 à 1989, que l’on doit la construction d’un musée digne de la cité préfectorale et de ses collections. La conception en fut confiée à l’artiste saint-lois Eugène Leseney en 1987 et les travaux s’achevèrent en 1989. Le choix de l’implantation, au cœur de la ville, le geste architectural, à la fois contemporain et intemporel, affirment la volonté d’enrichir le patrimoine de la ville d’un équipement public majeur et de qualité et, en même temps, d’offrir aux collections un écrin des plus valorisants.
La conception architecturale du musée a suivi le cheminement qu’engendraient les collections tant celles-ci nécessitaient un parcours aéré et ouvert. Lorsqu’on pénètre dans ce lieu on y est tout de suite saisi par l’atmosphère douce induite par le mélange savamment organisé des lumières artificielles et de la lumière changeante du jour. Des puits de lumière végétalisés viennent apporter au visiteur la quiétude nécessaire à une visite paisible.
Les peintures
Une part importante des collections du musée des Beaux-Arts est composée de tableaux du 17e au 20e siècle, nombre d’entre eux ayant rejoint le musée par donation, en particulier celle de la famille Feuillet. On peut y voir des Van Loo, une œuvre de jeunesse du baron Gros, Corot, Boudin, Vollon, Fouace, Rozier, Chardon, Rousseau, Campain, Millet et tant d’autres œuvres d’artistes aux origines diverses et non uniquement locales ou normandes.
Les tapisseries
Le Musée des Beaux-Arts possède de nombreuses tapisseries datant du 16e siècle jusqu’au 20e siècle. Les tapisseries de Gombault et Macée (XVIe siècle) pièces maîtresses de la collection voisinent celles des ateliers d’Aubusson (18e siècle) et quelques œuvres plus contemporaines comme celles de Jean Lurçat, Mategot, Grau Garriga, Picart Ledoux, Vogensky.
La diversité du musée
Outre la peinture et les tapisseries, le musée regorge d’œuvres d’une grande diversité. Bien des arts y sont représentés comme, le vitrail, les émaux, la lithographie ou encore la sculpture avec Coutan ou Leduc. Les sciences et les techniques tiennent aussi leurs places avec la numismatique, les objets précieux, l’archéologie et les éléments d’architecture provenant, entre-autre du Saint-Lô médiéval.
Les Hommes font l’histoire de Saint-Lô
Le musée des beaux-arts propose aux visiteurs de découvrir un espace consacré à la riche histoire de Saint-Lô depuis le Néolithique jusqu’à sa reconstruction, sur plus de 300 m².
Illustrée par des collections variées récemment enrichies, c’est également par le biais d’une scénographie innovante (reconstitutions, aménagement multimédia) que le visiteur va se voir conter l’histoire de Saint-Lô. L’Histoire nous apprend que la ville fut détruite à deux reprises : lors des guerres de religions et lors de la seconde guerre mondiale. C’est donc à deux reprises que Saint-Lô a su renaître de ses cendres.
Lors des bombardements de juin 1944 et des combats qui suivirent, la ville de Saint-Lô fut anéantie à 95 %. Surnommée « capitale des ruines », elle va se relever grâce à la volonté de ses habitants et aux formidables moyens mis en œuvre lors de la Reconstruction. La nouvelle scénographie abordera différents thèmes de cette période de l’histoire de Saint-Lô : l’Occupation, la Résistance, les bombardements du 6 juin 1944, la Reconstruction, les baraquements, le centre hospitalier Mémorial France/Etats-Unis et l’hôpital irlandais. De nombreux documents (œuvres, archives, films ou objets) sont présentés dans une muséographie moderne adaptée à tous les publics.
La donation Le Fèvre - 2006
Jean-Pierre Le Fèvre, né à Caen en 1933, est devenu saint-lois en 1973. Il s’y est si bien implanté qu’il est, à bien des égards, le témoin artistique de la vie de la ville. Le 21 avril 2006, la ville de Saint-Lô a reçu la donation de 24 œuvres représentatives de l’évolution de son art entre 1969 et 2004. L’artiste exprima lors de cette cérémonie le sens de son geste : reconnaissance envers sa cité d’adoption d’abord ; ensuite le souci qu’une part significative de son œuvre soit conservée, préservée, groupée, à l’abri de l’inaliénabilité des collections publiques.
La donation Castro - 2006
La donation de 224 œuvres réalisées de 1944 à 2004 au musée des Beaux-Arts de Saint-Lô est une date importante dans la vie de l’artiste mais aussi dans celle de la ville. Né argentin en 1922, devenu parisien de cœur depuis 1949, Castro signe en 1956-1958 sa première œuvre monumentale en créant l’immense verrière du monastère des bénédictines de Caen. C’est l’amitié de collectionneurs de la région qui 50 ans plus tard le mènera à cette donation de vaste ampleur et de grande qualité. La rencontre a lieu entre le souci de pérennité de l’œuvre de Sergio de Castro et la volonté d’une ville de prêter son musée à des expositions de l’art de notre temps. L’exposition « 60 ans de création 1944-2004 » coïncide avec la période de la reconstruction et la renaissance de la ville de Saint-Lô, évoquée dans les salles du musée. Cette « donation monument » est un encouragement à conforter l’identité d’une ville de bâtisseurs, de re-constructeurs.
Du 9 février au 11 juin
Musée d’art et d’histoire - Saint-Lô (50)
Dimanche 11 juin
Musée d’art et d’histoire de Saint-Lô - Saint-Lô (50)
Dimanche 11 juin
Musée d’art et d’histoire de Saint-Lô - Saint-Lô (50)
Samedi 17 juin
Musée d’art et d’histoire de Saint-Lô - Saint-Lô (50)
Dimanche 25 juin
Musée d’art et d’histoire de Saint-Lô - Saint-Lô (50)
Situé au coeur du Bocage normand, sur les bords de la Druance, le domaine de Pontécoulant rassemble les marques distinctives de la noblesse : château, pavillons du garde-chasse et du jardinier, colombier, parc paysager, potager, (…)
Pontécoulant (14)
Au bord de la Risle, visitez une usine toujours en activité avec un savoir-faire ancestral et travaillant sur des machines anciennes : BOHIN France (190 ans, 40 pays distribués). Sur 2 500m², vous traversez les ateliers de (…)
Saint-Sulpice-sur-Risle (61)
L’épopée du transport maritime depuis 1851.
L’établissement public de coopération culturelle French Lines & Compagnies, Patrimoine maritime et portuaire fondé par la Ville du Havre et la Région Normandie, a pour missions de (…)
Le Havre (76)
Situé au cœur du château de Guillaume le Conquérant, dans un bâtiment contemporain, le musée des Beaux-Arts compte parmi les musées les plus importants de France en matière de peinture européenne des XVIe et XVIIe siècles (France, (…)
Caen (14)
Visite virtuelle
Unique site Radar des plages du Débarquement, le Musée Radar présente dans deux bunkers réaménagés des espaces muséographiques exposant la vie de la station et des Douvrais ainsi que l’histoire du (…)
Douvres-la-Délivrande (14)