Olivier Mériel 2002 Musée Villa Montebello
Au fil de trois saisons, le photographe a observé Trouville, attendu le passage des nuages sur la mer, palpé la lumière vibrante, ausculté les lieux désertés par les estivants et recherché les endroits insolites.
Olivier Mériel utilise une grande chambre photographique - à l’inverse de nos habitudes contemporaines usant des clichés de toutes petites dimensions. Ses photographies prises en pleine lumière d’hiver dégagent une nostalgie qui évoque les accents du crépuscule portés en exergue dans le texte de Kenneth White.