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Les gens de l’île 1948-1984
Marie Lemoine, conteuse, a collecté dans les communes et les départements autour de Tatihou, les récits de vie et souvenirs de ceux qui ont vécu ou travaillé sur l’île entre 1948 et 1984, période durant laquelle l’île était un Centre d’Education par le Travail. En parallèle, elle y a associé un travail de création plastique autour de photographies de coques de bateaux qui se trouvent rassemblées dans l’abri à bateaux du musée maritime.
Sa démarche de plasticienne a rejoint celle de la collecteuse afin d’établir un parallèle : préserver la mémoire des embarcations (Craquelures des couches de peinture successives, rouilles, empreintes diverses du passage du temps ) avant que les travaux de restauration n’effacent tout souvenir, tout témoignage de l’usage, de l’usure.
Son travail plastique intègre des bribes de paroles collectées, écrites de la main des personnes interrogées. Après avoir sélectionné au sein de ses collectages, un certain nombre de passages, elle a demandé à une musicienne de glisser entre les mots, les notes de son accordéon de façon à proposer une mise en voix et en musique de ces récits de vie.
300
Samedi 12 octobre
Les gens de l’île 1948-1984
ÉvénementIle Tatihou - Saint-Vaast-la-Hougue (50)
Lecture musicale-Récits de vie
Marie Lemoine, conteuse, a collecté dans les communes et les départements autour de Tatihou, les récits de vie et souvenirs de ceux qui ont vécu ou travaillé sur l’île entre 1948 et 1984, période durant laquelle l’île était un Centre d’Education par le Travail. En parallèle, elle y a associé un travail de création plastique autour de photographies de coques de bateaux qui se trouvent rassemblées dans l’abri à bateaux du musée maritime.
Sa démarche de plasticienne a rejoint celle de la collecteuse afin d’établir un parallèle : préserver la mémoire des embarcations (Craquelures des couches de peinture successives, rouilles, empreintes diverses du passage du temps ) avant que les travaux de restauration n’effacent tout souvenir, tout témoignage de l’usage, de l’usure.
Son travail plastique intègre des bribes de paroles collectées, écrites de la main des personnes interrogées. Après avoir sélectionné au sein de ses collectages, un certain nombre de passages, elle a demandé à une musicienne de glisser entre les mots, les notes de son accordéon de façon à proposer une mise en voix et en musique de ces récits de vie.