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Les animaux sous la patte des artistes normands
Le temps d’un été les animaux trouvent refuge au musée Quesnel-Morinière : Peintes, sculptées ou photographiées, les œuvres exposées témoignent du lien d’artistes attachés à la Normandie aux animaux de notre terroir et de notre quotidien (sauf le toucan d’Henri Le Bihan sans doute !).
Les pigeons et belettes de Géo Lefèvre côtoient les œuvres de Louis-Edouard Garrido, Jules Rame, André Hambourg mais aussi d’Alain. A. Fournier, Frédéric Faye, EF Vision, Noëlla Martineau ou encore Daniel Juré : »…Pour peindre un hérisson il faut savoir se mettre sur son piquant à soi, mais pour un chat toute l’altérité du monde n’y suffit pas. »
300
Du 15 juin 2018 au 30 septembre 2018
Les animaux sous la patte des artistes normands
ExpositionMusée Quesnel-Morinière - Coutances (50)
de 1899 à nos jours
Le temps d’un été les animaux trouvent refuge au musée Quesnel-Morinière : Peintes, sculptées ou photographiées, les œuvres exposées témoignent du lien d’artistes attachés à la Normandie aux animaux de notre terroir et de notre quotidien (sauf le toucan d’Henri Le Bihan sans doute !).
Les pigeons et belettes de Géo Lefèvre côtoient les œuvres de Louis-Edouard Garrido, Jules Rame, André Hambourg mais aussi d’Alain. A. Fournier, Frédéric Faye, EF Vision, Noëlla Martineau ou encore Daniel Juré : »…Pour peindre un hérisson il faut savoir se mettre sur son piquant à soi, mais pour un chat toute l’altérité du monde n’y suffit pas. »
Le temps d’un été les animaux trouvent refuge au musée Quesnel-Morinière : Peintes, sculptées ou photographiées, les œuvres exposées témoignent du lien d’artistes attachés à la Normandie aux animaux de notre terroir et de notre quotidien (sauf le toucan d’Henri Le Bihan sans doute !).
Les pigeons et belettes de Géo Lefèvre côtoient les œuvres de Louis-Edouard Garrido, Jules Rame, André Hambourg mais aussi d’Alain. A. Fournier, Frédéric Faye, EF Vision, Noëlla Martineau ou encore Daniel Juré : »…Pour peindre un hérisson il faut savoir se mettre sur son piquant à soi, mais pour un chat toute l’altérité du monde n’y suffit pas. »
